Conclusion
A travers ce dossier, nous avons pu constater qu'un tsunami, aussi appelé raz de marée, est un ensemble de vagues dévastant les côtes et pouvant atteindre plusieurs dizaines de mètres. Il est généralement engendré par un mouvement brutal du fond de la mer au cours d'un séisme, une éruption volcanique ou un glissement de terrain par exemple.
Ainsi, le 26 décembre 2004, un séisme de magnitude de 8,5 sur l'échelle de Richter a frappé l'Indonésie et a engendré un tsunami de grande ampleur. Ce même tsunami a ensuite touché des pays côtiers de l'Océan Indien comme l'Inde ou la Thaïlande. Il a alors causé de nombreuses pertes matérielles et humaines entraînant un bilan très lourd.
On alors cherché les moyens possible d'action et de prévention face à une telle catastrophe.
Dès lors, il est apparu une meilleure éducation et une alerte pour les populations concernées afin de mieux les préparer, la modélisation et la simulation des tsunamis, qui bien qu'elle ne soit pas encore au point à cause de la difficulté à modéliser les différentes phases du tsunami simultanément, permettrait de prévoir à l'avance et précisément un tel événement dans le futur.
De plus, on dispose de dispositifs de prévention artificiels tel que les bouées DART ou les digues mais également naturels comme la mangrove qui permettent à la fois d'anticiper un tsunami par des mesures sur la population mais également d'en limiter l'impact.
Aujourd'hui, on estime que la reconstruction de l'Indonésie qui a été le pays le plus fortement touché est à plus de 2/3 du chemin.
On peut alors penser que l'on n'aurait pas pu totalement éviter la catastrophe du 26 décembre 2004 mais la limiter.
En effet, on dispose aujourd'hui de connaissances approfondies au niveau des tsunamis et on a d'une part des moyens de prévention qui permettent de réduire les conséquences et d'autre part, une possibilité de modélisation, certes limitée, mais qui progresse et qui a l'avantage d'anticiper le phénomène. Ainsi, le nombre de victime aurait pu être réduit par des déplacement de population anticipés ou une meilleure politique d'amménagement du territoire par exemple.
Toutefois, il faut encore compter sur la recherche et l'avancée scientifique afin d'encore réduire l'impact d'une telle catastrophe.
Afin d'approfondir et de compléter la réponse à la question de la catastrophe liée au tsunami du 26 décembre 2004, il aurait pu être intéressant d'assimiler les différentes notions tels qu'au niveau des équations mathématiques afin de les exploiter. De plus ce sujet englobe plusieurs matières dont les Sciences de la Vie et de la Terre, la Physique ou les Mathématiques ce qui rend d'autant plus élevé le nombre d'éléments auxquels nous sommes confrontés.